SOS Papa 28: de nouvelles actions spectaculaires

Un père en colère encordé en haut du Petit Palais en Avignon

L’homme qui se trouve actuellement sur le haut du bâtiment place du Palais des Papes se bat pour la garde de ses enfants. Il s’est attaché à un créneau avec une corde. La police et les pompiers sont sur place

* Par Marc Civallero
* Publié le 22/03/2013 | 10:29, mis à jour le 22/03/2013 | 11:46

Suspendu au niveau de la gargouille l’homme a déployé une banderole sur laquelle est écrit »Habemus Papas »

Un père séparé, réclamant la mise en place de gardes alternées plus systématiques et demandant à rencontrer des journalistes, est monté ce vendredi matin sur un bâtiment jouxtant le palais des papes à Avignon,

L’homme s’est installé en haut d’un bâtiment de trois étages, un musée appelé le Petit Palais. D’abord installé entre deux créneaux de la bâtisse historique, il s’est ensuite suspendu au niveau des gargouilles, déployant une banderole sur laquelle est écrit « Habemus Papas ». Selon un policier présent sur place, l’homme est monté par un échafaudage puis a barricadé les accès. Il a affirmé vouloir rester jusqu’à « demain 16 heures ». Contactée, la police d’Avignon a précisé qu’elle comptait
l’interroger à sa descente.

Cette action s’inscrit dans le cadre d’un « printemps des pères » imaginé par des pères militants, faisant suite à l’initiative de Serge Chanay, qui avait passé quatre jours sur une grue de Nantes en février. Cette semaine, plusieurs pères séparés sont montés sur des structures de grande hauteur dans le pays.

Selon un communiqué envoyé par l’organisation « Printemps des pères », le père d’Avignon est Nicolas Moreno, qui était monté brièvement sur une grue à Nantes en février pour soutenir Serge Chanay.

Avec AFP

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Ploufragan (22). Les deux papas descendus du pylône
Faits de société jeudi 21 mars 2013

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Les deux papas montés dans un pylône à Ploufragan (Côtes-d’Armor) pour faire valoir leurs droits dans les dossiers de garde de leurs enfants sont descendus en fin de matinée.

Les deux hommes, par cette « action actuelle », entendaient attirer l’attention de la justice sur leur situation. Et demander « l’application du principe de coparentalité ».

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